8 mars 2007
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17:52
Plus d'une semaine sans mise à jour, plus de réponses à vos commentaires ...
Je vais même vous faire un aveu : plus d'une semaine sans même passer sur mon manteau d'étoiles !
Les raisons ? Une accumulation de circonstances :
- le projet Kheops, dont le bouclage approche avec un gros événement le 30 mars dont vous entendrez sans doute parler. Tensions, stress et horaires lourds, je pense que tous ceux qui ont eu à boucler un grand projet me comprennent. C'est formidable, enthousiasmant, mais je me suis parfois demandé si je n'allais pas m'enrouler dans des bandelettes avant de me coucher dans un sarcophage.
- des travaux dans le nouvel appartement qui ont failli me rendre fou. Deux mois à devoir être derrière l'entrepreneur pour le faire avancer et à rectifier ses erreurs. J'étais obligé de passer tous les soirs, cela ne s'est terminé que dimanche dernier après un ultime changement de tirette de mitigeur. Un vrai feuilleton dont mes collègues de bureau suivaient les épisodes au quotidien.
- des travaux de peinture que nous avions décidé de faire nous-même et qui furent retardés par les précédents. J'y passe tous mes week-end depuis un mois. Heureusement, toute la famille s'y est mis et nous aide d'une manière exceptionnelle, allant jusqu'à venir de la Réunion malgré le cyclone Gamède. De mon côté, j'ai pas mal progressé en bricolage, même si la manière dont j'enduis les murs laisse encore à désirer.
- le déménagement à organiser, que j'ai fini par déléguer à Christine et à ma belle-mère, et qui, à elles deux, vous mettent en cartons tout un appartement plus vite que leur ombre ;-) Si, si, Toutankharton, heu tout en carton (quand je vous dis que l'Egypte est mon obsession du moment).
- enfin, dernier pied de nez, un disque de mon PC a décidé de cesser de fonctionner.
Résultat : trop de pression, trop de stress pour ne serait-ce que voir les petits détails dans lesquels germent les haïkus. Je n'avais plus le temps de regarder autour de moi, je ne voyais plus rien. J'ai bien cru que c'en était fini de la poésie.
Et puis, depuis quelques jours, l'oeil s'est à nouveau ouvert. Toutefois, je n'arrive pas encore à ré-écrire. L'oeil voit ce magnifique printemps précoce, l'oreille entend le chant des oiseaux et la narine frémit au parfum des jacinthes, mais la plume ne jette encore que des notes éparses dans le fidèle carnet.
Le miroir est encore trop obscurci par les soucis et les tensions pour permettre l'écriture, mais je pense que cela ne tardera plus trop.
N'attendez toutefois pas trop d'ici le 30 mars, lorsque les sables d'Egypte seront un peu retombés.
En attendant, Manteau d'étoiles se met à l'heure de printemps. C'est toujours ça ...
Je vais même vous faire un aveu : plus d'une semaine sans même passer sur mon manteau d'étoiles !
Les raisons ? Une accumulation de circonstances :
- le projet Kheops, dont le bouclage approche avec un gros événement le 30 mars dont vous entendrez sans doute parler. Tensions, stress et horaires lourds, je pense que tous ceux qui ont eu à boucler un grand projet me comprennent. C'est formidable, enthousiasmant, mais je me suis parfois demandé si je n'allais pas m'enrouler dans des bandelettes avant de me coucher dans un sarcophage.
- des travaux dans le nouvel appartement qui ont failli me rendre fou. Deux mois à devoir être derrière l'entrepreneur pour le faire avancer et à rectifier ses erreurs. J'étais obligé de passer tous les soirs, cela ne s'est terminé que dimanche dernier après un ultime changement de tirette de mitigeur. Un vrai feuilleton dont mes collègues de bureau suivaient les épisodes au quotidien.
- des travaux de peinture que nous avions décidé de faire nous-même et qui furent retardés par les précédents. J'y passe tous mes week-end depuis un mois. Heureusement, toute la famille s'y est mis et nous aide d'une manière exceptionnelle, allant jusqu'à venir de la Réunion malgré le cyclone Gamède. De mon côté, j'ai pas mal progressé en bricolage, même si la manière dont j'enduis les murs laisse encore à désirer.
- le déménagement à organiser, que j'ai fini par déléguer à Christine et à ma belle-mère, et qui, à elles deux, vous mettent en cartons tout un appartement plus vite que leur ombre ;-) Si, si, Toutankharton, heu tout en carton (quand je vous dis que l'Egypte est mon obsession du moment).
- enfin, dernier pied de nez, un disque de mon PC a décidé de cesser de fonctionner.
Résultat : trop de pression, trop de stress pour ne serait-ce que voir les petits détails dans lesquels germent les haïkus. Je n'avais plus le temps de regarder autour de moi, je ne voyais plus rien. J'ai bien cru que c'en était fini de la poésie.
Et puis, depuis quelques jours, l'oeil s'est à nouveau ouvert. Toutefois, je n'arrive pas encore à ré-écrire. L'oeil voit ce magnifique printemps précoce, l'oreille entend le chant des oiseaux et la narine frémit au parfum des jacinthes, mais la plume ne jette encore que des notes éparses dans le fidèle carnet.
Le miroir est encore trop obscurci par les soucis et les tensions pour permettre l'écriture, mais je pense que cela ne tardera plus trop.
N'attendez toutefois pas trop d'ici le 30 mars, lorsque les sables d'Egypte seront un peu retombés.
En attendant, Manteau d'étoiles se met à l'heure de printemps. C'est toujours ça ...