13 février 2006
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08:40
Contrairement à bien d'autres, je ne suis pas un adepte du grognon "Comme un lundi" en réponse à la question "Comment ça va?" posée par les collègues le lundi matin.
Les lundis matins sont inéluctables, sauf à proposer la suppression (et de manière récursive) du premier jour travaillé de la semaine ...
J'ai un jour fait un rapide calcul, à raison d'un lundi par semaine, cinq semaines de congés, plus deux de RTT et quarante années de travail. En cumulant tous les lundis, c'est en fait près de cinq ans que l'on passerait à maugréer "Comme un lundi". Ca fait réfléchir ... même si je peux comprendre que retourner au boulot le lundi matin ne soit pas toujours drôle pour ceux qui ont un travail pénible, quelqu'en soit la raison. Cela dit, puisqu'on ne peut rien au retour du lundi, autant essayer de voir les choses de manière positive.
Pour cela, je commence par éviter d'allumer la radio trop tôt, sinon :
petit déjeuner -
les tartines trempées
dans les faits divers
Rien de tel pour vous mettre le bourdon d'emblée.
Ensuite, je ne rate jamais, je dis bien jamais, l'occasion d'observer et de me réjouir d'un détail cocasse, d'un instant décalé, que ce soit en voiture (ça permet de supporter les embouteillages) ou dans la journée. Je prends des notes, parfois je compose un haïku, que je note rapidement depuis cette mésaventure :
Voilà comment je supporte sans problème les lundis. Et puis, mon fils Florian est né un lundi, ce qui a -si besoin était- définitivement réhabilité ce jour à mes yeux!
Les lundis matins sont inéluctables, sauf à proposer la suppression (et de manière récursive) du premier jour travaillé de la semaine ...
J'ai un jour fait un rapide calcul, à raison d'un lundi par semaine, cinq semaines de congés, plus deux de RTT et quarante années de travail. En cumulant tous les lundis, c'est en fait près de cinq ans que l'on passerait à maugréer "Comme un lundi". Ca fait réfléchir ... même si je peux comprendre que retourner au boulot le lundi matin ne soit pas toujours drôle pour ceux qui ont un travail pénible, quelqu'en soit la raison. Cela dit, puisqu'on ne peut rien au retour du lundi, autant essayer de voir les choses de manière positive.
Pour cela, je commence par éviter d'allumer la radio trop tôt, sinon :
petit déjeuner -
les tartines trempées
dans les faits divers
Rien de tel pour vous mettre le bourdon d'emblée.
Ensuite, je ne rate jamais, je dis bien jamais, l'occasion d'observer et de me réjouir d'un détail cocasse, d'un instant décalé, que ce soit en voiture (ça permet de supporter les embouteillages) ou dans la journée. Je prends des notes, parfois je compose un haïku, que je note rapidement depuis cette mésaventure :
en retard
je prends le temps de noter
un haïku
je prends le temps de noter
un haïku
Voilà comment je supporte sans problème les lundis. Et puis, mon fils Florian est né un lundi, ce qui a -si besoin était- définitivement réhabilité ce jour à mes yeux!